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EN BREF
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Le contexte de l’urbanisme au Pays de Fontainebleau est marqué par des tensions croissantes, alors que le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUi) a récemment été approuvé par la majorité des élus malgré les demandes d’un report formulées par plusieurs associations. Ces dernières ont exprimé des inquiétudes quant à la protection de l’environnement et aux implications de cette décision pour les futures générations. Le président de l’agglomération, Pascal Gouhoury, a soutenu que le maintien du vote était essentiel pour établir un cadre cohérent de développement et d’urbanisme, rejetant les appels à une concertation plus poussée.
Le conseil communautaire du Pays de Fontainebleau a récemment approuvé le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI), malgré la demande de report formulée par plusieurs associations. Ce contexte témoigne des tensions persistantes entre les élus et les représentants associatifs, qui craignent pour la protection de l’environnement et la qualité de vie sur le territoire.
Avantages
L’approbation du PLUI présente plusieurs avantages indéniables. Tout d’abord, ce document vise à réguler l’urbanisme de manière cohérente sur les 26 communes du Pays de Fontainebleau jusqu’en 2040. En définissant un cadre clair, il permet de mieux anticiper et gérer les enjeux liés au développement économique, à l’habitat et à la mobilité.
De plus, le PLUI facilite une réduction de l’artificialisation des sols en limitant l’expansion urbaine et en protégeant les espaces naturels, agricoles et forestiers. Le président de l’agglo, Pascal Gouhoury, souligne que ce plan réduit de 30 hectares la surface des zones à urbaniser, tout en intégrant des espaces dédiés aux équipements publics et à l’emploi. Ce cadre est essentiel pour une croissance démographique maîtrisée et pour garantir un équilibre entre développement et préservation de l’environnement.
Inconvénients
En revanche, plusieurs inconvénients émergent de cette décision. La majorité des élus ayant voté en faveur du PLUI n’a pas accédé à la demande de concertation plus large des associations, ce qui a généré des inquiétudes concernant la protection de l’environnement et la qualité de vie sur le territoire. Les contestations des associations, notamment à Bois-le-Roi, illustrent des craintes vis-à-vis de la loi SRU, qui impose des obligations de production de logements sociaux, susceptibles de ne pas répondre aux attentes de la population.
De plus, certains habitants s’inquiètent que la mise en œuvre hâtive de ce PLUI ne prenne pas suffisamment en compte les spécificités locales. La nécessité d’un équilibre délicat entre les exigences de l’État et les besoins des communes pourrait entraîner des solutions inadaptées, notamment si les consultations publiques demeurent insuffisantes. Ainsi, malgré une approbation vue comme une avancée, des tensions substantieuses persistent, révélant de réelles préoccupations au sein de la communauté.
Pour plus d’informations sur le processus d’approbation et ses implications, vous pouvez consulter les ressources suivantes :
Approvisionnement du PLUI et
appel à retarder le vote.
Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) du Pays de Fontainebleau a été approuvé par la majorité des élus, malgré des demandes insistantes de plusieurs associations et habitants pour un report du vote. Ce document, qui établit les règles d’urbanisme jusqu’en 2040 pour les 26 communes du territoire, suscite des débats et des inquiétudes quant à ses implications en matière de protection environnementale et de logements sociaux.
Contexte de l’Approvisionnement du PLUI
La séance du conseil communautaire qui s’est tenue le 16 octobre a vu une trentaine d’habitants, pour la plupart de la commune de Bois-le-Roi, ainsi que des représentants d’associations, se mobiliser pour exprimer leurs préoccupations. Toutefois, ils n’ont pas réussi à faire changer le cours des événements. Pascal Gouhoury, président du Pays de Fontainebleau, a justifié le maintien du vote, qualifiant un éventuel report de « faute grave ».
Les Réponses du Président du Pays de Fontainebleau
Dans sa réponse, Pascal Gouhoury a souligné que le PLUI était nécessaire pour rendre conformes les anciens plans locaux aux directives du Sdrif-E, le schéma directeur de la Région Île-de-France. Ce nouveau document se veut un cadre pour l’aménagement futur et inclut des politiques liées au développement économique, à l’habitat et à la mobilité.
Les Inquiétudes des Associations
Les associations ont exprimé une forte inquiétude concernant la préservation de l’environnement. Elles soutiennent la nécessité d’une plus grande concertation et d’une protection renforcée des espaces naturels, face à ce qu’elles perçoivent comme un risque d’artificialisation excessive des sols. En réponse, le président a précisé que le PLUI vise à réduire l’étalement urbain, avec une diminution de 30 hectares des zones à urbaniser.
Les Obligations Sous la Loi SRU
Une source de tension supplémentaire provient de l’application soudaine de la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbain) à Bois-le-Roi, qui impose des obligations strictes à la municipalité en matière de logement social. Pascal Gouhoury a indiqué que, bien que des inquiétudes soient compréhensibles, le logement social est essentiel pour répondre aux besoins d’une population en croissance, notamment pour les jeunes et les seniors.
Perspectives d’Avenir et Protéger le Cadre de Vie
Le PLUI se propose d’établir un équilibre entre des exigences contradictoires : la nécessité de densifier les zones urbanisées tout en préservant la nature et la biodiversité. Le président a renforcé l’idée que ce document est un premier pas vers une urbanisation plus respectueuse du cadre de vie, avec la protection de vastes zones naturelles, des espaces boisés et du patrimoine bâti.
Pour plus d’informations sur le PLUI et son contenu, vous pouvez consulter les ressources suivantes : le site du pays de Fontainebleau ou le rapport de l’enquête publique.

Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) du Pays de Fontainebleau a récemment été approuvé par la majorité des élus, face à des demandes de report formulées par plusieurs associations. Cette décision, qui fixe les normes d’urbanisme pour les 26 communes du territoire jusqu’en 2040, a suscité des débats animés concernant la protection de l’environnement et les exigences en matière de logement.
Un contexte tendu autour du PLUI
La réunion du conseil communautaire a rassemblé une trentaine d’habitants et des représentants d’associations. Malgré leur présence et leurs préoccupations exprimées, la majorité des élus a maintenu leur cap. Pascal Gouhoury, président du Pays de Fontainebleau, a affirmé que le report du vote aurait été une « faute grave », soulignant que les documents d’urbanisme préexistants n’étaient pas en adéquation avec les nouvelles directives régionales.
Les enjeux de l’urbanisation
Ce PLUI a été conçu pour établir des politiques claires en matière de développement économique, d’habitat et de mobilité. Il vise à réduire l’artificialisation des sols tout en préservant les espaces naturels, agricoles et forestiers. En effet, il est prévu de diminuer de 30 hectares la surface des zones urbanisables, selon Pascal Gouhoury.
La nécessité d’une concertation accrue
Les associations ont plaidé pour une concertation plus large autour des implications environnementales du PLUI. Malgré cela, le président du Pays de Fontainebleau insiste sur l’importance d’un équilibre entre les nécessités de développement urbain et la protection de l’environnement. Il a estimé nécessaire de répondre aux craintes exprimées, même s’il ne partage pas le même point de vue sur les problématiques soulevées.
Des solutions pour la densification urbaine
Le PLUI s’inscrit dans un processus de maîtrise de la croissance démographique, avec un objectif d’environ 240 logements par an pour répondre aux besoins de la population. La création de nouveaux logements doit également prendre en compte des espaces pour des équipements publics et des zones d’activités pour favoriser l’emploi, intégrant ainsi le développement économique.
Comprendre les spécificités locales
Le président a également mentionné que le PLUI a été conçu en collaboration étroite avec les maires et les services municipaux, pour s’assurer qu’il respecte les différentes spécificités locales tout en maintenant une cohérence intercommunale. Ce document constitutionnel permettra à certaines communes de disposer enfin d’un cadre pour gérer leur urbanisme, en anticipant l’avenir.
Les avancées en matière de protection de l’environnement
Le PLUI entend également renforcer la protection de l’environnement local, en englobant des initiatives pour préserver 28 000 hectares de zones naturelles, 575 hectares de zones humides, ainsi que de nombreux bâtiments de qualité architecturale. Cela témoigne de l’engagement à mener des études environnementales pour chaque projet afin d’assurer une gestion prudente des ressources.
Vers une évolution nécessaire
Bien que le PLUI ait été approuvé, son évolution reste possible et des ajustements pourraient être réalisés au fil du temps. L’objectif étant de garantir que le cadre réglementaire réponde aux besoins croissants en matière d’urbanisme tout en protégeant le patrimoine naturel et culturel du Pays de Fontainebleau.
Comparaison des opinions sur le PLUi
| Arguments en faveur du PLUi | Arguments contre le PLUi |
|---|---|
| Fixe un cap pour l’urbanisme jusqu’en 2040 | Inquiétudes environnementales des associations |
| Réduction de 30 ha des zones à urbaniser | Demandes de report jugées non prises en compte |
| Priorise les équipements publics et l’emploi | Peu d’engagement sur la concertation |
| Encadre et régule l’urbanisme avec une cohérence intercommunale | Obligation de produire des logements sociaux critiquée |
| Protection de 28 000 ha d’espaces naturels | Perception d’un risque d’artificialisation des sols |

Témoignages sur l’urbanisme à Fontainebleau : un PLUI approuvé malgré des tensions
Le récent vote du Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) du Pays de Fontainebleau a suscité de vives réactions au sein de la communauté. Malgré une demande insistante de 12 associations pour un report du vote, la majorité des élus a opté pour l’approbation de ce document qui s’impose comme une feuille de route urbanistique jusqu’en 2040.
Lors de la séance du conseil communautaire, une trentaine d’habitants, principalement de Bois-le-Roi, ont exprimé leurs préoccupations. La réponse du président de l’agglomération, Pascal Gouhoury, a été claire : le report du vote aurait été une “faute grave”. Il a insisté sur le fait que le nouveau PLUi se doit d’être en conformité avec d’autres documents d’urbanisme, garantissant ainsi un cadre solide pour le développement et la protection de l’environnement.
Les craintes des associations, notamment concernant la nécessité d’une plus grande concertation et la préservation des espaces naturels, ont été entendues, mais le président a affirmé qu’il avait une lecture différente de la situation. Le PLUi, selon lui, inclut des mesures concrètes pour réduire l’artificialisation des sols et favoriser un urbanisme durable. Il a également souligné que la surface des zones à urbaniser serait réduite de 30 hectares.
Pascal Gouhoury a par ailleurs mentionné que, bien que les inquiétudes soient réelles, le document apporterait une amélioration significative en intégrant des équipements publics et des zones d’activités pour l’emploi. Sa vision s’inscrit dans un équilibre délicat entre le besoin de démocratisation des logements et la préservation des ressources naturelles. Avec une nécessité de produire 240 logements par an pour répondre à la croissance démographique, il insiste sur le fait que chaque projet doit respecter des règles strictes d’études environnementales.
La situation à Bois-le-Roi reste toutefois tendue. La commune est soumise à des exigences de production de logements sociaux, suscitant une levée de boucliers. La politique de logements sociaux, jugée nécessaire par les élus, a suscité une incompréhension parmi certains habitants qui ont du mal à envisager cette évolution dans leur cadre de vie habituel.
Finalement, ce PLUi, bien que critiqué, constitue un pas en avant pour le territoire, intégrant un travail de co-construction avec les maires et services municipaux. Il représente une anticipation importante de l’évolution urbaine à Fontainebleau, tout en tenant compte des spécificités de chaque commune. Les défenseurs de la préservation de la nature peuvent trouver des répercussions positives, avec notamment la protection de près de 28 000 hectares de zones naturelles.
Résumé
Le 16 octobre 2025, lors d’un conseil communautaire, la majorité des élus du Pays de Fontainebleau a approuvé le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) qui régira les 26 communes du territoire jusqu’en 2040. Malgré une demande de report formulée par 12 associations pour favoriser une meilleure concertation et protéger l’environnement, le président Pascal Gouhoury a affirmé que ce report aurait été une « faute grave ». Ainsi, le PLUi a été voté pour établir une cohérence en matière d’urbanisme et de préservation des espaces naturels.
Un nouveau cadre pour l’urbanisme
Le PLUi de Fontainebleau représente une référence essentielle en matière de planification urbaine, établissant des règles claires pour l’aménagement du territoire. Ce document s’inscrit dans une logique de démarche durable, limitant l’artificialisation des sols et favorisant la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers. Un des points saillants de ce PLUi est la réduction de 30 hectares des surfaces à urbaniser, reflétant une volonté de densification urbaine plutôt qu’un étalement territorial.
Les préoccupations des associations
La mobilisation des associations environnementales et des habitants a mis en lumière des préoccupations significatives autour de l’impact du PLUi sur l’environnement local. Ces associations ont plaidé pour un examen approfondi et un report du vote afin de garantir une collaboration étroite avec les citoyens, en particulier sur les questions de protection des espaces écologiques. Le président a toutefois souligné que cette approche aurait pu paralyser les progrès en matière de planification urbaine.
Une gestion équilibrée des attentes
Pascal Gouhoury a réaffirmé son engagement à répondre aux inquiétudes des citoyens tout en justifiant le besoin d’un PLUi. Ce document se doit d’équilibrer les attentes de l’État en matière de construction de logements, tout en préservant l’environnement et la biodiversité. Le PLUi prévoit des zones dédiées aux équipements publics et à la création d’emplois, démontrant une vision d’avenir qui tient compte du développement économique du territoire.
Des avancées significatives
Le PLUi ne se contente pas d’établir des règles, il propose également des orientations d’aménagement qui visent à protéger les ressources écologiques. Parmi les initiatives notables, on peut citer la protection de 28 000 hectares d’espaces naturels et 575 hectares de zones humides. De plus, près de 1 000 bâtiments d’architecture de qualité ainsi que des éléments de patrimoine local font l’objet de mesures de protection, garantissant un cadre de vie préservé et valorisé.
La singularité des communes
Une des forces du PLUi est sa capacité à prendre en compte les spécificités communes. Bien que le plan soit centralisé, il intègre les besoins uniques de chaque commune, ce qui permet une harmonisation intercommunale. Les responsables locaux ont été impliqués dans la co-construction de ce document, favorisant ainsi une approche personnalisée pour chaque territoire tout en garantissant une vision d’ensemble cohérente.
Vers une nécessaire évolution
Bien que le PLUi ait été adopté, il est important de reconnaître qu’il représente un point de départ. Les enjeux urbains et environnementaux évoluent constamment, et le document devra s’adapter à ces transformations. La nécessité de mener des études environnementales pour tout projet futur témoigne de l’engagement continu du Pays de Fontainebleau vers un développement responsable et durable, garantissant que l’avenir du territoire soit en adéquation avec les attentes de la population.

Dans un contexte de débats acharnés autour de la gestion de l’urbanisme, la récente approbation du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) par le Pays de Fontainebleau révèle de profondes divergences au sein de la communauté. Malgré les nombreuses inquiétudes soulevées par plusieurs associations et citoyens, le vote a été maintenu en raison de la nécessité de répondre aux exigences réglementaires et d’aménagement du territoire.
Le président du Pays de Fontainebleau, Pascal Gouhoury, a souligné l’importance de ce document en tant qu’outil de planification. Il insiste sur le fait que le report du vote aurait constitué une grave erreur, compromettant ainsi la mise en conformité avec d’autres documents d’urbanisme essentiels. De fait, le PLUI se positionne comme un schéma directeur crucial, définissant les grandes lignes d’aménagement pour les 26 communes du territoire jusqu’en 2040.
Toutefois, les réticences existent. Plusieurs habitants de Bois-le-Roi et d’autres territoires se sont exprimés contre certaines décisions prises. Ils craignent notamment pour l’impact de l’urbanisation sur l’environnement et désirent une concertation plus poussée. Malgré ces craintes, la majorité des élus ont fait le choix de valider le PLUI, considérant qu’il présente des mesures de protection des espaces naturels et de limitations de l’artificialisation des sols.
Dans ce cadre, il est évident que la question de l’urbanisme à Fontainebleau nécessite un équilibre délicat entre démographie, développement économique et préservation de l’environnement. Alors que certains voient le PLUI comme une avancée, d’autres restent sceptiques quant à sa mise en œuvre concrète. Un climat de tension persiste, reflétant les défis d’une planification urbaine responsable et durable.
FAQ sur le PLUI à Fontainebleau
Pourquoi le vote du PLUI a-t-il été maintenu malgré les demandes de report ? Le président Pascal Gouhoury a justifié que reporter ce vote aurait constitué une faute grave, soulignant que les documents d’urbanisme en place étaient non conformes.
Quelles sont les principales caractéristiques du PLUI approuvé ? Le PLUI fixe des règles d’aménagement et d’urbanisme pour les 26 communes jusqu’en 2040, en réduisant de 30 hectares la surface des zones à urbaniser tout en plaçant une partie des nouvelles constructions dans des dents creuses.
Comment le PLUI prend-il en compte les préoccupations environnementales ? Le PLUI s’inscrit dans une trajectoire de réduction de l’artificialisation des sols et prévoit la protection de nombreux espaces naturels et agricoles.
Quelles sont les justifications concernant la construction de logements sociaux à Bois-le-Roi ? La commune est soumise à la loi SRU, ce qui impose des obligations de production de logements sociaux, avec 70 % de la population éligible.
En quoi le PLUI pourrait-il améliorer la situation en matière de logement ? Il s’agit d’un équilibre délicat entre la densification des zones urbanisées et la préservation de la nature, permettant de produire les 240 logements nécessaires par an pour accueillir la population.
Quels bénéfices le PLUI offre-t-il aux communes ayant peu de documents d’urbanisme ? Trois communes bénéficieront d’un cadre pour l’urbanisme, ce qui leur permettra également d’anticiper l’avenir et de mieux planifier.
Quels efforts sont déployés pour protéger le patrimoine et l’environnement ? Le PLUI prévoit la protection de 28 000 hectares de zones naturelles et 1 000 bâtiments d’intérêt architectural, ainsi que des études environnementales pour tous les projets.
Le PLUI est-il perfectible ? Oui, le président a reconnu qu’il est améritable, mais il constitue une base plus protectrice pour le territoire.
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